Rectification de cet article
suite à une conversation téléphonique avec
l'auteur le 12 mars 2003
Ce livre au titre évocateur, aurai pourtant ,selon son
auteur ,qu'un seul objectif ouvrir le débat, sur cette
rumeur qui fait penser que cet enfant tué un jour d'octobre
2000, Mohamed Al Dura, n'est pas mort, n'a jamais existé,que
l'adulte prés de lui, n'était pas son père,
que tout cela ne fût qu'une sinistre mise en scène
orchestrée par un journaliste palestinien à la solde
d'une télévision française.
L'entretien qui suit, de Gérard Huber, dont les questions
posées,sans complaisance, nous amènent, à
une conclusion simple, personne n'est sûr de rien, personne
ne saura jamais, mais le mal est fait, et des deux côtés.
Rappelons que le caméraman a filmé prés de
55 mn , ce drame qui se déroulait à 50 mètres
de lui, pour n'en restituer plus que 27 mn à Charles Enderlin,
et n'en diffuser publiquement que 50 secondes ; le film que nous
avons tous vus.
Aucun protoganiste de cette contre-enquête, pas même
l'auteur du livre ,n'a eu accés à ces 55 mn voire
même aux 27 mn.
Il serait donc plus sage d'en débattre avant, pour éviter
d'en découdre après.
Notre avis : cet enfant est bien mort. Tué par des balles
israèliennes ou palestiniennes ? personne ne pourra répondre
puisque aucun rapport d'autopsie n'a pu être établi.
Cependant, pour éviter d'employer à tort le terme
négationiste, mal approprié, ou tout autre terme
qui condamnerait avant de savoir, des compléments d'informations
seront apportés, lors d'une projection privée proposée
par l'auteur, et nous permettront de dire, plus certainement,
si oui ou non, nous avons été tous victimes d'une
machination, si aujourd'hui l'évidence n'est pas ce que
nous voyons, ni ce que nous ressentons.
Il y a fort à parier, que dans ce cas ,ce n'est que la
partie visible de l'iceberg, il y aura fort à parier, que
d'autres procés sont à venir.
En revanche n'oublions pas "Le massacre de Djenine "
qui n'a pas eu de peine lui à se démonter et sans
aucune difficulté .
Ce fût une pathétique mise en scène, des morts
qui se lèvent de leur brancard, aucune télévision,
pas même française ne s'est faite prier, pour montrer
le côté, parfois, burlesque de cet Intifada et à
une heure de grande audience, un samedi à 13 heures.
Voici en ce qui nous concerne l'interview intégrale de
Gérard Huber, psychanaliste de profession.
Claudine Douillet