- C'est Moché et David qui sont chez le rabbin.
Moché lui demande : "M. le
- grand rabbin, est-ce que le noir, c'est une couleur ?"
-
- Alors le rabbin réfléchit, et ne trouvant
pas la réponse, convoque deux
- autres rabbins, lisent deux ou trois fois la Bible et
en fin de compte, le
- rabbin répond a Moché : "Eh ben, oui,
le noir, c'est considéré comme une
- couleur parce que c'est par définition l'absence
des autres couleurs"
-
- - D'accord M. le rabbin mais est-ce que le blanc est
aussi une couleur?
-
- Alors la, le rabbin il convoque tous les rabbins de la
ville et ils forment
- un tribunal, ils lisent la bible 6 fois et tous les commentaires
(le Talmud,
- pour la culture) deux fois, et ils reviennent. Le rabbin
lui répond : "Oui,
- le blanc, c'est une couleur puisque c'est un ajout continu
de toutes les
- couleurs..."
-
- Alors Moché se retourne vers David et lui dit
: "Tu vois je t'avais dit que
- j't'avais vendu une télé couleur..."
-
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-
- Un mendiant sonne à la porte de David
- - Vous auriez pas un petit quelque chose pour moi ?
- - Oui, vous aimez la soupe de la veille ?
- - Ho oui, ho oui !
- - Ben repassez demain !
-
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-
- Sahra ammène le petit Samuel chez le vieux tailleur
Isaac afin de lui
- acheter un beau costume pour sa Bar-mitzva . Ils entrent
dans la modeste
- échoppe:
- - Bonjour Sahra, bonjour Samy ! Vous venez pour un costume
?
- Sahra lui fait un topo de la situation et lui précise
bien:
- - Et surtout Isaac, je veux ton plus beau tissu pour
le costume du petit !
- Isaac lui promet un costume exeptionnel et il prend les
mesures du petit.
-
- Une semaine après, Sahra passe chez le vieil Isaac
avec son fils pour
- prendre livraison du vêtement. Le costume est très
joli et va comme un gant
- au petit Sammy. Après avoir payé (très
cher, mais bon, un tissu pareil...),
- Sahra et Samuel s'en vont prendre le bus. Mais voilà
qu'un orage éclate
- soudain et que, le temps de courir s'abriter, ils sont
tous les deux trempés
- jusqu'aux os. Sahra regarde alors le petit Samy, et là,
stupeur: le costume,
- taillé dans un tissu de pacotille a affreusement
rétréci et les bras et
- jambes du petit Samuel dépassent d'une bonne dizaine
de centimètres...
-
- Furieuse, Sahra retourne chez le tailleur en traînant
son fils derrière
- elle, entre furibarde dans la boutique et se retrouve
devant le vieil Isaac
- qui s'exclame en decouvrant Samuel:
- - Mon dieu, comme il a grandi !
-
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-
- Abraham dit à Jacob:
- - Ch'suis malade, mais j'ai peur d'aller chez le toubib,
parce que ça coûte
- cher, quoi!
- - Ben, tu devrais aller chez le docteur Samuel. Il pratique
un tarif
- dégressif! Quand on revient le voir, il ne prend
plus que la moitié!!
- Abraham se présente donc chez le Dr Samuel, et
déclare tout de go:
- - Bonjour Docteur! C'est encore moi!!
-
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-
- Deux juifs se rencontrent :
- - J'ai du mal à joindre les 2 bouts en ce moment.
Tu te rends compte que
- tous les matins, ma femme me demande 500F?
- - 500? La vache! Comment tu fais?
- - Ben, je ne lui donne pas.
-
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-
- Les parents du petit Samuel, les Bensimon, sont très
inquiets, il semble
- souffrir de graves troubles mentaux. Ils l'emmènent
donc voir un psy.
- Le psy demande aux parents d'aller dans la salle d'attente
afin qu'il puisse
- s'entretenir seul à seul avec leur fils. Au bout
d'un quart d'heure il sort
- et dit aux parents : "c'est très grave, votre
fils fait un complexe
- d'Oedipe".
- La mère répond : un complexe d'Oedipe?
Oh c'est pas grave, du moment qu'il
- aime sa mère...
-
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-
- Un juif à Jérusalem voit un billet sur
la route où il y a plein de voitures
- qui roulent. Il se précipite pour ramasser le
billet, et manque de chance
- pour lui se fait écraser.
- Le médecin arrive et note sur l'avis de décès
:
- "Mort naturelle"
-
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-
- Un Juif écossais ashkénaze (ashkénaze
veut dire allemand en hébreu ancien)
- se rend avec son épouse à l'hôtel
Beau-Rivage, à Genève, Suisse (Suisse:
- Confédération helvétique, Eidgenossenschaft
Schweiz, ou Confederazzione
- helvetica, note pour les pédants).
- Il y passe trois jours et trois nuits. Au moment de repartir,
il tique en
- voyant la note: 3000 francs suisses (3000 francs suisses:
quelque 1,200.000
- francs CFA, note pour les économistes du pays
Dogon), plus 900 francs
- (suisses, toujours) pour les repas.
- - Comment!, s'exclame-t-il, Vous me demandez une somme
pareille pour les
- repas? Mais je n'y ai même pas touché, à
votre nourriture!. Je n'ai rien
- mangé! Votre nourriture n'est même pas cacher.
- - Rien à faire!, répond le gérant.
La nourriture était à votre disposition,
- et si vous n'y avez pas touché, cela vous regarde!
Vous nous devez 3900
- francs!
- Le Juif écossais ashkénaze réfléchit
un moment.
- - D'accord!, finit-il par répondre. Mais maintenant,
c'est vous qui me devez
- 2100 francs!
- - Comment?, demande le gérant.
- - Je vous paye les 3900 francs, mais vous, vous m'en
devez 6000, parce que
- trois nuits de suite, vous avez couché avec ma
femme! Je compte 2000 francs
- par nuit, parce que je l'aime beaucoup. 6000 francs moins
3900, ça fait
- 2100! Vous savez compter, non?
- - Mais... je n'ai pas couché avec votre femme!,
balbutie le gérant.
- - C'est votre problème! Ma femme était
là, à votre disposition, et si vous
- ne l'avez pas touchée, cela vous regarde! Rien
à faire
-
- ----------------------------------------------------------------------------
-
- Ça me rappelle un sketch de Popeck (pour ceux
qui ne connaissent pas, il
- parle avec un accent juif d'Europe de l'Est), ou il est
a la Gare du Nord.
- Une femme lui demande ou se trouve "la roue de la
gare". Il répond que la
- gare, c'est ici, donc la roue est certainement dehors.
Puis il lui demande
- si elle est étrangère, et elle répond
qu'elle est portugaise.
- Il lui dit alors " si ji peux mi pirmittre di vous
donner un conseil, on dit
- pas la roue, on dit la rie..."
-
- ----------------------------------------------------------------------------
-
- C'est un noir au marché de Jérusalem qui
essaie de vendre sa vache à 100
- dollars. La vache, une vielle carne avec la peau sur
les os, un pis aussi
- gros que les seins de Jane Birkin. Enfin bref une épave
à 4 sabots.
- Evidemment, aucun client ne se manifeste. Durant 2 heures
un juif observe ce
- noir puis s'approche...
- Le juif: - Tu n'as rien compris à la vente, laisse-moi
faire. Si je te la
- vends, on fait 70% pour moi et 30 pour toi, OK?
- Le Noir: - OK.
- Le juif commence la vente ...
- Le juif: - Voici la toute dernière race de bovin,
comme la nouvelle lessive
- elle est très concentrée. Elle prend moi
de place mais donne plus de lait.
- Et là, la foule commence à s'avancer, se
masser.
- Le juif: - Et oui mesdames et messieurs, voici le dernier
cri de la
- génétique africaine.
- Et là, ça devient la cohue pour cette curiosité
et les enchères commencent à
- monter: 100$, 200$, 300$..500$
- Le juif: - Et plus fort encore, elle a été
inséminée artificiellement et en
- plus elle fera deux veaux chaque année.
- Et les enchères montent 550$, 600$, 1100$.
- Le juif: - Avec les veaux, plus aucun problème
de descendance.
- Et là enchères s'enflamment 2000$, 3000$.
- Alors à ce moment là, le noir va voir le
juif et lui dit : Je ne la vends
- plus!
- Le juif: Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va
se faire...
- Le noir: Ouah, mais si elle vaut si cher, je prefère
la garder!
-
-
- ----------------------------------------------------------------------------
-
- -Toi, mon petit, quel est ton voeu le plus cher pour
quand tu seras grand?
- - Devenir riche!
- - Ach! petit égoïste! Et toi?
- - Épouser la maîtresse!
- - Ach! sales pensées sexuelles! Et toi?
- - Mourir pour l'Allemagne et pour vous, mein Führer!
- - Très bien, mon petit! Mais dis moi, pourquoi
portes-tu ton cartable sur la
- poitrine?
- - C'est pour cacher l'étoile jaune, mein Führer!
-
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-
- C'est en Pologne il y a quelques années, à
4 heures du matin, une file de
- 300 mètres est déjà présente
à l'entrée d'un magasin de chaussures. Vers 8
- heures, la file mesure près d'un kilomètre.
Alors, la police arrive et
- s'écrie:
- "Il n'y aura pas assez de chaussures pour tout le
monde, alors que tous les
- juifs rentrent chez eux !"
- Et la file ne mesure plus que 50 mètres.
- Vers midi, elle mesure 500 mètres. La police revient
et dit: "Il n'y aura
- pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que
tous les étrangers
- rentrent chez eux !"
- et la file mesure de nouveau 100 mètres.
- Vers 17 heures, elle mesure alors 400 mètres.
La police arrive et dit: "Il
- n'y aura pas assez de chaussures pour tout le monde,
alors que tous ceux qui
- n'ont pas la carte du parti rentrent chez eux !"
- et la file mesure de nouveau 50 mètres.
- Vers 21 heures, la police vient pour la dernière
fois et annonce: "Il n'y a
- plus de chaussures alors rentrez tous chez vous !"
- Un homme sort de la file et s'écrie:
- "Merde, il y en a marre, c'est toujours les juifs
qui sont prévenus les
- premiers!"
-
- Il y a pas si longtemps que cela (on va dire en 1980),
un gars va se
- confesser.
-
- "Pardonnez-moi mon Père, parce que j'ai pêché:
Pendant la seconde guerre
- mondiale, j'ai caché un juif dans mon grenier."
-
- "Hé, mais ce n'est pas un pêché!"
répond le prêtre.
-
- "Oui, mais je lui ai demandé 500 FF pour
chaque semaine qu'il passait là."
-
- "Ah ça d'accord! Ce n'était pas bien,
mais ce n'était pas un gros pêché
- puisque vous faisiez une bonne action en même temps."
répond le curé.
-
- "Oui, mais je ne lui ai pas encore dit que la guerre
est finie!"
-
- ----------------------------------------------------------------------------
-
- Pendant la deuxième guerre mondiale, aux États-Unis,
une dame de la haute
- société avait décidé de soutenir
l'effort de guerre en invitant quelques
- valeureux p'tits G.I. qui allaient bientôt partir
au casse-pipe à manger
- chez elle.
-
- Elle appelle la base militaire toute proche et demande
à parler au Major. Au
- Major, elle dit:
-
- "Major, pourriez-vous me trouver trois jeunes militaires
qui seraient
- susceptibles de dîner ce dimanche soir à
ma table. Mais de grâce, faites
- qu'aucun d'eux ne soit juif."
-
- "C'est bien compris, Madame," répond
le Major.
-
- Et nous voilà le dimanche soir. Sur le seuil de
la porte de la dame se
- tiennent trois jeunes militaires en tenue impeccable,
tous les trois sont
- NOIRS: "Bonsoir m'dame. Nous sommes ici sur votre
invitation"
-
- La dame est abasourdie. Elle en bafouille: "Mais,
mais.... le Major a du
- faire une erreur!"
-
- "Oh, non M'dame, le Major Cohen ne fait jamais d'erreur"
répondent en choeur
- les G.I.
-
- ----------------------------------------------------------------------------
-
- C'est Moché et Sarah qui passent en voiture rue
St Denis, et Sarah regarde
- les femmes dévêtues attendant patiemment
le prochain client.
-
- - Moché, je comprends vraiment pas pourquoi les
hommes vont voir les
- prostituées... Qu'est ce qu'elles ont de plus
que nous ?
- - Tu sais sarah, c'est des professionnelles... elles
font des choses
- qu'elles seules savent faire.
- - Mais quels types de choses?
- - Des choses...
- - Quoi ? Moché, réponds-moi!!!
- - Ben, je sais pas... par exemple elles geignent.
- - Ah ça! Mais moi aussi je peux geindre!
- - On verra ça ce soir alors, répond Moché
-
- Le soir arrive, Sarah s'est mis des sous-vêtements
affriolants.
- Elle va se coucher.. Puis Moché, commence son
affaire...
-
- - C'est maintenant que je geint...
- - Non pas encore Sarah...
- ....